Mine de rien à la crèche on apprend à vivre ensemble avec les autres.
Aller vers un ami et lui offrir un cadeau, c'est aussi un très joli mouvement.
Mine de rien, c'est souvent parce qu'on a peur qu'on est violent.
L'univers de la maternelle décrit avec des mots simples pour les petits.
Mine de rien, comprendre pourquoi on fait une grosse colère ça nous aide à grandir.
Mon doudou est un petit lapin-câlin qui partage ma vie. Il m'accompagne, me console, me rassure, me câline. Mais je grandis et, de temps en temps, je l'oublie, j'ai moins besoin de lui.
Mine de rien, ce qui se passe avec nos grands-parents, c'est très important.
Quand nos parents redeviennent amis après la tempête de la séparation, c'est mieux pour tout le monde.
Quand on comprend mieux on grandit mieux ! Mine de rien, quand on doit obéir ou désobéir, c'est mieux de savoir pourquoi.
Etre polis, vivre avec des gens polis, ça adoucit la vie, ça la rend encore plus jolie.
On ne sait pas toujours pourquoi on pleure : de tristesse ou de colère, quand on se fait mal, quand on a peur de ne pas y arriver ou quand on a honte. On peut aussi pleurer quand on nous gronde ou quand notre coeur est lourd, ça montre qu'on a besoin d'être aidé et consolé. Mais quand on voit un grand pleurer, on est chamboulé. Souvent on croit que c'est de notre faute. C'est pour ça que c'est bien quand on nous explique qu'on y est pour rien.
Mine de rien, devenir propre c'est formidable, mais quel plaisir de se salir de temps en temps !
Ceux qui nous aiment, nos parents et les adultes de confiance, sont les seuls autorisés à décider pour nous. Cela nous protège.
Mine de rien, quand on se sent respecté, les vrais câlins, ça fait partie des bonheurs de la vie.
Mine de rien, quand quelqu'un qu'on aime meurt, ça rassure de savoir que la vie continue et qu'on a le droit d'être heureux
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